Les Lettres DUne Libertine Loft DArtiste Parisien (1/2)
Jétais dans le TGV en route vers Paris. Assise sur la cuvette des WC, je relisais, après mêtre changée, linvitation reçue quelques jours plus tôt alors que mon homme était en déplacement sur la capitale.
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INVITATION AUX PLAISIRS
Thème : De lart oui mais au pluriel !
Lieu : Paris 16ième
Consignes : Billets SNCF à consulter et sorganiser en conséquence Durant le voyage suivre les consignes via sms A larrivée en gare suivre le panonceau « Mme Breizfrissons » et son porteur.
Dress-code : Bas couture « Cervin bleu-melon », porte-jarretelles, manucure assortie et escarpins de velours bleus. Robe habillée mais au dessus du genou Le tout est à prendre dans un sac de voyage, petits bijoux de fantaisie. Rosebud turquoise à mettre dans la vanity.
Date et heure : voir billet SNCF Prévoir nuitée et journée du lendemain en dispo.
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Je rangeais mes affaires échangées dans le sac de voyage, relue le texto et inséra comme demandé le rosebud dans lorifice dédié. Nous étions à 15 minutes de larrivée à Montparnasse et je devais, suivant les consignes, regagner ma place une fois changée.
Jouvris la porte des WC et croisais le regard surpris de mon voisin den face du carré, qui attendait la libération des sanitaires. Oui effectivement le changement était grand dans ma tenue, cest le moins que lon puisse dire !
Le rouge aux joues je regagnais le carré, sous le regard soudain plus attentif des hommes et jalousant des femmes du wagon.
Je fis mine de rien, replaçais mon sac au dessus de moi, dévoilant ainsi, bien malgré moi, la jarretière bleue de mes bas Cervin Mince, la couleur nétait pas discrète et quelques sourires amusés apparurent sur le visage des hommes du carré.
Là je virais au cramoisi et maudissais mon homme intérieurement. Et comble, le troisième homme attendait derrière moi que je me rassoie correctement pour sinstaller. Jenvoie mon rapport à mon bourreau « tout est OK comme prévu mais il y a du public ! ».
Nouveau sms en provenance de mon homme. « tes voisins ou voisines doivent être heureux(ses) de profiter de jolies courbes bien mises en valeur. Nhésites pas à ne pas croiser et décroiser les jambes pour montrer que tu ne portes
rien ! ».
Oups
oui çà aussi je ne lai pas anticipé et jespère que seule la lisière de mes bas a été entrevue, ce qui serait moins pire que ce que jimaginais en linstant.
Je devins « transparente » jusquà la fin du voyage et lun de mes voisins mépargna (au grand regret des autres sans doutes) de me mettre dans une nouvelle difficulté dexhibition involontaire, en me descendant mon sac de voyage. Alors que je le remerciais, il me dit « cest toujours un plaisir dêtre utile à une jolie femme
si vous avez encore besoin, nhésitez pas ! ». Je lui délivrais un sourire, dont seules les femmes ont le secret, pour appuyer son compliment.
Descendue sur le quai, je scrutais la foule pour y chercher mon homme et son panneau « Mme BREIZFRISSONS » lorsquen bout de quai mes yeux sont attirés par ce dernier nom. Sauf que le porteur de celui-ci mest totalement inconnu. Mon cur semballe, nous navions jamais joué lun sans lautre et ce nétait pas dans le contrat !
Lhomme quinquagénaire, séduisant au demeurant, sapprochait de moi en me saluant. Il me tendit une enveloppe présentant lécriture de mon mari et adressée à mon attention. « Surprise ! Voici ton chauffeur. Il va te conduire à son taxi, te bander les yeux avant de tassoir à larrière du véhicule. Tu devras répondre à toutes ses questions et obéiras aveuglément à toutes ses requêtes. Il prendra également au passage un escort-boy avant de te conduire au lieu de rendez-vous où nous nous retrouverons Dont panique, tout est sous contrôle sauf peut-être toi ».
Oui, effectivement, cest un peu la panique au fond de moi-même mais le sourire de mon charmant quinquagénaire fini de me rassurer. Avec galanterie, il pris en charge mon sac de voyage et me guida dans les dédales de la gare Montparnasse.
Cest ainsi que je me retrouvais assise, sur le siège de cuir dune très belle berline allemande, à larrière, les yeux bandés à converser avec un chauffeur enjoué et très courtois. Comme convenu, à quelques centaines de mètres de là, le véhicule sarrêta et une personne monta à lavant sans prononcer le moindre mot.
Les quelques échanges de banalité sur mon voyage effectués, mon chauffeur passa rapidement au registre des compliments érotiques. Jai rapidement supposé que le rétroviseur avait une autre utilité que le code de la route car rapidement ses propos minformèrent quil avait noté le coté fraichement préparé de mon entre-jambes et que le bleu mallait bien au teins.
Je décidais de jouer le jeu intégralement, imaginant que lexcitation provoquée par celui-ci me serait profitable : elle diminuerait ainsi le stress de labsence de mon homme. Je répondais donc, du tac au tac, aux allusions avec un ton un brin aguicheur.
Ce qui ne déplut pas à mon chauffeur qui senhardit en me demandant de quitter ma robe et masseoir en simple lingerie à larrière. Devant mon hésitation, il me précisa que ses vitres arrières étaient fumées et quil ny avait aucune raison de le priver dune vue
assurément splendide daprès ses propres aveux. Hélas je découvrirais, à la fin de ma rencontre, quil nen était rien et que le parcours parisien, depuis la gare, avait du susciter bien des émois ou courroux des voyeurs et voyeuses improvisés.
Jessayais de rentrer en contact avec le passager avant mais je nobtins pas de réponse. Le chauffeur me précisa que celui-ci avait reçu comme consigne d el a part de mon mari de rester silencieux.
Je soupçonnais mon taxi de prendre son temps car le trajet était fait dun accordéon de rythmes.
Un main attrapa celle qui était libre et me proposa une coupe fraiche à saisir. « les bulles permettent un abandon total des libertines » précisa mon chauffeur avec une pointe dironie dans la voix.
Je remontais alors un talon sur le siège pour lui offrir la vue sur mon anneau de bronze orné de son bijou et ce qui a la fâcheuse conséquence de bien ouvrir ma vulve, dévoilant ma plasticité naturelle et ma salle de jeux.
La voiture se stationna et la consigne me fut donner dattendre, alanguie sur le siège arrière pendant que les choses se mettaient en place. Les portières avant claquèrent. Je poursuivais machinalement ma masturbation clitoridienne.
Puis la portière à coté de souvrit et une main est venu me caresser le sein sorti puis le sexe, un doigt inquisiteur testa mon humidité. « Elle nest pas tout à fait prête, va le dire aux autres, je men occupe » indiqua la voix de mon chauffeur. Je moffusquais ! Jétais déjà plus quhumide.
La porte se referma sur lui malgré tout et il mécarta les cuisses pour venir directement me lécher le sexe. Relevant la tête il mindiqua quil manquait à tous ses devoirs, me resservi en champagne en me demandant de profiter de linstant ainsi offert. Il replongea entre mes petites lèvres avec gourmandises.
Il léchait divinement bien, titillant également le bijou du rosebud pour assurer un petit-vas et vient sur le sphincter. Lexcitation cérébrale dans laquelle jétais maintenue depuis mon arrivée à la gare moffrit mon premier orgasme, presque trop facilement et sans intensité.
Suite à venir.
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